La Maison de Circé -flood spécial-

La Maison de Circé

Bienvenue dans notre flood "spécial" ! Ici, comme dans le flood, vous pouvez poster ce que vous voulez, avec plus ou moins de mots ! Seules restrictions : pas de contenu obscène.
Le principe est le suivant : votre personnage se trouve dans la maison de Circé. Comme dans un RP, vous écrivez ce qu'il fait, mais comme dans le flood, pas de contexte, ni de restriction du genre 15 lignes minimums, etc...
Pour jouer, il suffit de répondre directement à ce message ! Sur ce, bon jeu !

Alice entra, sautillant, même avec ses escarpins vernis rouges. Elle portait avec un mini-short en jean bleu qui ne couvrait qu'un tiers de ses cuisses, et un t-shirt large blanc sur lequel figurait un cœur rouge. Ses cheveux blonds, légèrement bouclés, étaient lâchés tels une cascade, et un rouge à lèvres rouge était appliqué sur ses lèvres. Du mascara et un trait de crayon sur les paupières rendaient son regard bleu encore plus envoutant qu'elle ne l'était. Sa tenue était complétée par des bracelets divers. Elle posa son sac à main, un sac en cuir rouge dont le prix était exorbitant, et posa ses clés sur le buffet de l'entrée. Elle portait dans son autre main un bouquet de roses rouges, qu'elle huma avant de les jeter dans une poubelle proche. Un sourire fier envahit ses lèvres, et ses yeux se plissèrent, donnant un côté de prédateur. Elle arriva dans le salon, et s'assit sur le canapé pourpre en tissu plutôt confortable, et alluma la télé, afin de regarder les infos People. Puis, son portable -un portable rouge, de marque, plutôt cher, avec pas mal d'applications inutiles et de trucs dans le genre- vibra. Elle regarda l’expéditeur, et supprima le message avant même de l'avoir lu, et soupira. Comme si elle voulait se plaindre d'être désirée. C'était cet air indifférent qui l'avait fait passé du rang de belle fille à dangereuse femme fatale.

J'arrive en courant dans la maison, saluant la blonde qui regarde la télé. Je monte les escaliers, en sautant quelques marches, dérape, et me retrouve au fond du couloir. Je toque. Aucune réponse. C'est bon signe. J'ouvre la porte, découvre une chambre. Je souris. Je suis arrivée au bon endroit. Je pose mon sac, un sac en bandoulière noir en tissu, contre le mur et m'écrase sur le lit. Je remarque que je porte toujours mes chaussures.

Aujourd'hui, je suis habillée d'un slim noir, d'une paire de Converses noire, d'un t-shirt rose pétant, et d'un blazer noir. Je porte aussi un collier noir auquel est accroché un cœur. Mes cheveux sont lisses, et une mèche de cheveux couvre mon front. Mes fines lèvres sont maquillées d'un léger rose, et mes yeux verts sont embellis par du mascara, et un trait de crayon sur la paupière supérieure.

Je regarde l'armoire, me lève, et décide de l'ouvrir. Je rentre à l'intérieur, et referme la porte.

Ok, je suis maintenant coincée dans une amoire.

Non ! Non ! Cory ne pouvait pas mourir enfermé dans un coffre du grenier !

Lauralie était allongée sur le ventre, sur la moquette grise de la chambre au bout du couloir étroit. Elle lisait. Encore. Fleurs Captives, cette fois. Elle avait beau l'avoir lu et relu, ce passage, où le petit garçon étouffait dans une malle alors que ses soeurs et son frère le cherchent pendant une innocente partie de cache-cache dans le grenier où ils sont enfermés là tenait en haleine chaque fois.
Elle était si plongée dans le roman qu'elle n'a pas entendu frappé à la porte, qui lui était cachée par le lit.
Par contre, quand quelqu'un est entré et s'est lourdement laissé tomber sur ledit lit, elle l'a entendu.

Comme toujours, on ne l'avait pas vue.

Lauralie s'est assise en tailleur au sol, alors que la jeune fille lui tournait le dos. Elle a ouvert l'armoire, y est entré, a refermé la porte et... Plus rien. La porte n'est pas munie de poignée à l'intérieur. Mais qui aurait l'idée d'entrer dans une armoire, en même temps ? Elle se croyait où ? Dans le monde de Narnia ?
Dommage, bien essayé.
Lauralie s'est levée pour aller ouvrir le lourd battant de bois et découvrir un visage connu. Rose Weasley.

Comment il s'était retrouvé là, lui, le grand grand Benjamin Groff ? C'est encore Joey qui voulait faire des bêtises. Genre, il se baladait, et poff ! Une maison. Alors, ils étaient entrés. Et puis, il y avait eut cette armoire. Ben trouvait qu'elle ressemblait à celle de Narnia. Alors, Joey était entré. Sauf que ce n'était pas Narnia. Et il était coincé. Il avait ensuite entendu la porte s'ouvrir, une fois de plus. Il n'avait pas bougé. Il ne voulait pas se trouver stupide. Alors, il n'avait rien dit. Et puis, la porte s'était ouverte, une troisième fois. Un bruit d'affalement, et puis, la porte de l'armoire s'est ouverte. Il avait sursauté. Rosy était entrée dans l'armoire, et les voila tout deux coincés. Ironie du sort, ils n'étaient toujours pas à Narnia. Après une ou deux minutes de silence, il ouvrit enfin la bouche, et chuchota.

Toi aussi, tu t'es faite avoir ?

Il ria légèrement à son sursaut.

Ce n'est que moi.

Ajouta-t-il. Soyons prudent. Vu le tempérament de la jeune fille, il serait mal vu un combat dans une armoire. Même qu'il posa sa main sur son épaule gauche. Vilain Joey.

Alors, la porte s'ouvrit une troisième fois. Il se tapissa dans le fond de l'armoire. Parce qu'évidemment, il n'avait pas pris sa baguette.

Foutu réflexe. Voilà que Lauraline ouvre la porte, et que je loge mon pied contre son ventre. Je la vois s'effondrer au sol, et Monsieur Groff rire.

Désolée Laura ! Je... C'était un réflexe !

Je l'aide à se relever, et est plutôt contente d'être sortie de l'armoire. Après Monsieur Groff, c'est une licorne qui sort de l'armoire.

C'est moi où, y a vraiment Narnia derrière l'armoire ?

Et voilà, ça lui apprendra.
Pourquoi s'entête-t-elle à vouloir être serviable ? Pour se faire broyer les intestins par une converse ? Bof.
Lauralie s'est écroulée au sol, se tenant le ventre.
Merde à la fin.
Elle avait le souffle complètement coupé.

- Désolée Laura ! Je... C'était un réflexe !

- C'est rien, je met une armure la prochaine fois que j'ouvre un placard, par contre, je crois.

Rosy a aidé Lauralie à se relever et M. Groff est sorti, hilare, sous le regard incendiaire de la jeune sorcière, qui peinait encore à retrouver l'oxygène dont elle avait besoin.
Et voilà une licorne qui se pointe. Non mais oh ! Stop là !

- C'est moi où, y a vraiment Narnia derrière l'armoire ? a demandé Rosy

- J'espère que c'est toi. Sincèrement. a dit Lauralie, en observant l'animal avec stupéfaction.

Joey ria encore plus. Pas qu'il n'aime particulièrement voir Lauralie souffrir, mais c'est Freddy... La licorne. Il l'avait bien miniaturisé, mais cette armoire semblait vraiment magique, et elle était sortit en même temps que lui... Il sourit.

Non, c'est Freddy. Elle m'aime bien. Alors, je l'ai miniaturisé, mais il semblerai que le sort soit dissipé.

Il sourit.

Tout va bien, Lauralie ?

Oh, et Narnia existe, pour ceux qui savent y croire..

Je vois pas trop le rapport...

Je rentre à nouveau dans l'armoire, en faisant attention à ne pas fermer la porte. Ok, elle est vraiment trop profonde pour n'être qu'une armoire.

Je crois que ça mène à Narnia...

Je m'enfonce, très profond... et débarque sur une plage.

Ok.

Bah', elle est tombée de ma...

Rosy entre dans l'armoire, Joey fronce les sourcils, elle l'a prit au sérieux.

Rose, je plaisantais, pour Narnia.

Il ouvrit la porte de l'armoire, elle n'y était pas. Où était-elle passé ? Il soupire, en entra une seconde fois dans l'armoire, sans fermer la porte, alors, il s'enfonça. Ok, il devenait vraiment fou. Devant lui se tenait une grande plage de sable blanc. Il continua d'avancer et bouscula quelque chose. Enfin, Rosy. Ils tombèrent tout deux à terre, roulant sur plusieurs mètres, pour finir leur course contre un rocher, elle sur lui.

Oups, désolé.

Aïe. Je me relève rapidement, et observe les alentours.

On est à Narnia ?

Je suis émerveillée. Des oiseaux à deux têtes volent dans le ciel. Oui, on doit être à Narnia. Je remets en place mes cheveux, et regarde derrière moi, le professeur abattu contre le rocher.

Levez-vous, on va visiter !

Entendant du grabuge en haut, Alice se leva, laissant son portable sonner seul, et monta les marches, attentives aux moindres bruits. Puis, les bruits disparurent. Elle entra dans une chambre, écarta la jeune fille qui était là, bouche bée, et pénétra dans l'armoire entre-ouverte. Là, elle déboucha sur une magnifique plage, et remarqua le directeur de Poudlard et une de ses élèves. Elle ôta ses escarpins, n'étant pas pratiques dans le sable, les posa délicatement dans l'armoire et alla à leur rencontre.

Hé ! Je vous interdis de vous amuser sans moi ! Alice Roselier, professeur à Beauxbâtons, enchantée. On est où ici en fait ?

Elle sourit, et admira le paysage. Non, elle n'était plus à Las Vegas...

Joey se releva, en soupirant. Il trouvait sa place fort confortable, avec ces piques qui lui rentraient dans le dos. Non, mais je vous jure !!

Et vous voulez visiter où ? On n'entretiens pas de correspondance avec l'un des rois et l'une des reines de l'ancien temps, on a pas de faunes pour nous guider, ni d'Aslan.. Bref, on va se perdre.

Il entendit alors une deuxième voix, il se retourna. La rose était sortit de son champ, et elle allait nous embêter. Il soupira, il n'avait jamais porté dans son coeur la professeur de BeauxBatons.

On est à Narnia, oui, comme dans le conte.

Alice soupira, agacée de l'air que prit Groff, attrapa le poignet de la jeune fille et partit avec elle à l'autre bout de la plage, malgré les protestations de cette dernière. Après avoir gravi une colline, elles arrivèrent sur les ruines d'un ancien château...

Ce monde est particulièrement ennuyant...

Puis, des masses noires se ruèrent vers elle. La jeune fille de Poudlard disparut, et la laissa seule.

Chouette.

Ces masses noires étaient en réalité des créatures -humaines ou non- vêtues de cape, qui recouvraient leurs corps et têtes. Elle aperçut des mains griffues, sortant des manches, et une queue de reptile... Elle ne savait pas comment, mais un mot lui vint à la bouche...

Mutations génétiques.

Mais, mais... MAIS QUE FOUT-ELLE A MA ROSY ? Joey, passablement énervé, les suivit en silence. Des ruines, comme dans le conte. Et si l'histoire ce répétait ? Peut-être était-il choisit pour accomplir une prophétie ? Ce serait chouette, mais en attendant, il y a des grosses bé-bêtes noirs qui attaquent.
Alors, dans un primaire instinct de survie, Groffy attrapa son élève et les fit tous deux tomber à terre, la serrant contre lui.

Ok, tout va très bien, ce sont juste des grosses bêtes méchantes, et que peut-être notre magie ne fonctionne pas ici. Oh, oui, tout va très bien.

Et l'autre trouvait ça ennuyant ? Il réprima un soupire, et sortit sa baguette, jetant des stupéfix ça et là aux affreuses bestioles.

Donc, les sorts ricochent contre leurs écailles... Cool.

Elle remarqua une trappe, et la fit sauter. Des oiseaux rouges-sang en sortirent. Ils avaient l'air inoffensifs... jusqu'à s'apercevoir de leurs becs pointus. Un vint se planter dans l'épaule de Rose, qui cria. Les mutations génétiques reptiliennes partirent en glissant sur le sol. Alice jeta un Protego devant elle... ce qui fut peu longtemps efficace. Il se brisa au deuxième coup de bec. Elle avait des entailles partout. Alors, elle agita sa baguette, et après quelques secondes de concentration, les oiseaux devinrent des pétales de rose.

Ah, je suis géniale.

Elle soupira en remarquant la pauvre fille à moitié consciente, moite, haletant dans les bras de Monsieur Groff.

Comme c'est touchant ! Sur ce, adieu !

Elle s’apprêta à partir quand le directeur la fusilla du regard. Elle lui lança un regard tueur, et partit encore plus haut, vers une sorte de arche en pierres.

Comme il était à Narnia, Groffy avait bien envie de lui lancer une flèche en plein coeur. Mais il se retint, car Rosy était blessée.
Il soupira. Heureusement qu'il avait fait des études de magicomage.
Il referma la plaie d'un sort, et d'un autre enleva le sang. Ensuite, il lui redonna quelques couleurs, avec un enervatum.

Rosy, tout va bien ?

Heu, oui.
Ok, j'ai rien compris là. Bref, je me lève, et on se dirige vers l'espère d'empilement de pierres qui forme une arche. Enfin, on a essayé. On se retrouve perdu dans une forêt.
Trop bizarre.
Là, des indigènes nous pointent avec leurs lances. Je veux leur lancer un Stupefix, mais quand je sors ma baguette, ils partent tous en courant.
Trop trop bizarre.
Finalement, on retourne sur nos pas. Sauf que les ruines du château ont été remplacé par le château. Je cours à l'intérieur en criant comme une folle.
REINE LUCY LA VAILLAAAAAAAAAAAAAAAANTE.

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